Anecdotes de stagiaires : histoires dorées
Cette page du site Chercheur d'OR est dédiée aux récits atypiques de stagiaires qui ont participé à une ou plusieurs formations sur l'orpaillage.
Que vous ayez effectué votre initiation avec Oreval et/ou nouvellement avec Chercheur-Or.com,
vous pouvez, vous aussi, nous faire partager vos aventures et vos souvenirs. Comment ? Rien de plus simple !
Contactez-nous par email (en bas de page) et envoyez-nous des photos de votre initiation.
A très bientôt sur notre page "dorée"
Trouver une pépite d'or : c'est possible ?
Félicitations en OR à Patrick G. et à son fils Brayann pour avoir déniché une pépite d'or (environ 2/10ème de gramme)
lors d'un stage d'initiation à l'orpaillage le mardi 4 août dans le Gardon (Photo ci-dessous).
Vivre un rêve en or !
Nicolas B. raconte brièvement son aventure et son voyage de Chercheur d’or :
« L’histoire commence au printemps 2009 lorsque devant la TV, je m’émerveille de voir qu’il est encore
possible de trouver de l’or de nos jours. Passionné depuis 7 ans par la détection et par l’Australie,
je me dis qu’il est possible de trouver de l’or avec mon détecteur. Mais non familier de la recherche de
l’or, je trouve sur internet quelques sites qui parlent de l’orpaillage loisir et me fait découvrir qu’il
y a de l’or en France dans les rivières. Moi qui croyais que les romains avaient déjà tout pris ! De fils
en aiguilles, je suis tombé sur ce site internet www.Chercheur –Or.com qui promet (contre remboursement au
cas contraire) de trouver des paillettes d’or par soi-même lors de stage d’initiation à la journée.
Rendez-vous est pris pour l’été de 2009 de me former au maniement du traditionnel pan américain et à
l’utilisation d’autres outils (comme le sluice ou l’aspirateur manuel). Ravi de voir qu’en une journée,
j’ai pu trouver mes premières paillettes d’or alors j’ai décidé de rester quelques jours de plus au bord
de la rivière pour parfaire mon apprentissage. Mais mon grand rêve était encore bien loin d’être réalisé.
Septembre ; départ pour l’Australie où j’ai décidé d’y passer 3 mois plein avec un ami (Bastien).
Sur le territoire australien s’en suit : formalités administratives, achat de véhicule, location de
matériel, etc. et enfin je m’adonne à ma grande passion de la détection dans des paysages aussi
désertiques que magnifiques. En quelques jours, Bastien et moi découvrons nos premières pépites d’or
(environ 1g). On est bien loin de la recherche « à la cool » au bord de l’eau en France l’été.
Là-bas il fait encore plus chaud et on marche pendant 6h par jour avec le détecteur mais la fièvre de
l’or nous emporte. De petites en plus grosses découvertes, le travail est ardu puisqu’on peut chercher
pendant des jours sans voir le moindre métal jaune (c’est dur !). La nuit je rêve de l’or. Et puis !
Bastien se casse le pied dans le bush australien et est obligé de rentrer précocement en métropole.
Quel coup dur ! Il me reste encore 3 semaines sur place où de prospection en prospection je sors
quelques autres pépites. Aujourd’hui de retour avec mon or australien, je me dis que le gold rush est
encore possible mais malheureusement pas en France. Je remercie encore Kevin de m’avoir initié à
l’orpaillage. Je remercie aussi toutes les personnes que j’ai croisées en Australie. »
